Culture
Slam : récap du 1er semestre 2023
5 juin 2023
Le premier semestre 2023 a été riche en slam pour les Magmaien·nes !
Pour ouvrir l’année, deux cycles de 3 ateliers ont eu lieu à la Zone de Liège : le premier en février-mars donné par M’sieur 13 et un second en avril-mai donné par Nadjad. Une occasion unique pour nos poètes en herbe de s’adonner à des exercices d’écriture et de déclamation tout en bénéficiant des conseils affûtés des intervenants.
Ensuite, un week-end slam s’est tenu à la mi-mai, toujours à la Zone, consacré le matin à des ateliers et l’après-midi à des réunions d’organisation en vue du Festival « Ça slame et ça danse » du 9 septembre prochain à l’Aquilone de Liège. L’atelier du samedi était axé sur l’écriture et a été donné par Youness. L’atelier du dimanche était quant à lui axé sur la déclamation et a été donné par trois slameurs·euses : Ben Kamuntu, Khelia Ingabira et Annie Akimana.
Enfin, trois volontaires de Magma ont eu l’occasion de déclamer leurs textes sur scène fin avril dans le cadre du Festival Propulsion organisé par la Maison des Jeunes La Clef et Le Senghor à Etterbeek.
Plein de beaux moments riches en poésie et en revendications sociétales !
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12 octobre 2024
Sortie culturelle - Expo Interactive Beldavia
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Betty, coordinatrice des projets de la Maison de quartier Buurtwerk Chambéry
Rue Chambéry 24-26 à Etterbeek, près du quartier connu de la Chasse, on trouve la maison "Buurtwerk Chambéry". Située dans un lieu très diversifié, où se côtoient les populations pauvres et riches, jeunes et plus âgées, ainsi que différentes cultures, l'objectif principal de la maison Chambéry est de renforcer la cohésion sociale au sein du quartier et d'améliorer les conditions de vie des habitants.
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Le tag comme forme d'expression d'engagement social et politique
En marge de toutes règles plus ou moins académiques ou commerciales, le graff est un univers codifié et bien plus complexe qu'un simple acte provocateur. C'est également un monde extrêmement clos, où il est difficile d'entrer en contact avec les graffeurs dès lors que l'on n'est pas du milieu. Méfiants pour la plupart, ils préfèrent rester dans l'anonymat la plus total.
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Karim : « Une image, c'est un instant. Pourtant, avec une série de photographies, on peut expliquer des luttes sociales qui perdurent… »
Ouvrier dans un hôpital depuis une dizaine d'années, Karim Brikci-Nigassa s'inscrit dans la lutte contre les inégalités et l'injustice sociale, par le biais de la photographie. De la révolte des Chemises rouges en Thaïlande, au combat des sans-papiers afghans en Belgique, en passant par la marche des mineurs en Asturies, Karim rebondit sur de nombreux sujets sociaux et décortique chaque situation politique. En 2011, il fonde, avec d'autres passionnés de l'image, le Collectif Krasnyi. Un moyen pour lui de traiter l'information autrement et de relayer les luttes sociales…